Au moins 140 jeunes entrepreneurs de 25 nationalités participent au Sommet Bridge Africa qui s’est ouvert le 6 mai 2024 à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P). L’évènement vise à impacter l’avenir du continent en promouvant l’innovation, le leadership et le réseautage panafricains.
Au moins 140 jeunes entrepreneurs de 25 nationalités participent au Sommet Bridge Africa qui s’est ouvert le 6 mai 2024 à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P). L’évènement vise à impacter l’avenir du continent en promouvant l’innovation, le leadership et le réseautage panafricains.
De l’Afrique du Sud au Tchad, en passant par l’Ouganda et la Tanzanie, toutes les sous-régions du continent sont représentées au Sommet « Bridge Africa » organisé par le Maroc. L’évènement qui s’est ouvert le 6 mai 2024 est accueilli par l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) située dans la ville de Ben Guérir en pleine transformation économique.
Le temps de quelques jours sur les 33 hectares de ce campus futuriste, 140 jeunes leaders de divers secteurs tels que la finance, l’énergie et les technologies mutualisent leurs expériences et leurs solutions pour une Afrique innovante et résiliente. Occasion pour Khalid Baddou qui pilote le concept Bridge Africa de rappeler les trois verbes incontournables pour un développement durable à l’échelle continentale, à savoir : « inspirer, impliquer et agir ».
Parmi les participants de premier plan à ce sommet figure le directeur général des plateformes Diaspo4Africa et Lumen Financial Africa. « Il s’agit d’un réseau qui offre aux jeunes leaders africains une plateforme et les ressources nécessaires pour convertir leurs idées en de véritables systèmes de changement et réaliser un impact durable sur l’ensemble de nos nations », explique l’Ivoirien Wilfried Adingra au micro d’AFRIK 21.
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Au-delà des ateliers sur la planification stratégique et le leadership panafricain, le Sommet Bridge Africa devrait faciliter le réseautage entre les 140 jeunes qui ensuite vulgariseront cette vision commune au sein de leurs communautés respectives. Ce qui dynamisera la coopération Sud-Sud dont les pays africains ont besoin par ces moments de crises climatique, alimentaire et sécuritaire.
Benoit-Ivan Wansi, au Maroc