Inondations, plastique, solaire… cinq faits marquants de l’actualité cette semaine

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Inondations, plastique, solaire… cinq faits marquants de l’actualité cette semaine © Teo-Inspiro International/Shutterstock

La semaine qui s’achève a été particulièrement riche. Alors que l’État de Lagos au Nigeria prenait une décision forte face à la pollution plastique, les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire au Congo vivaient au rythme de la montée des eaux du fleuve Congo.

Parmi les sujets marquants de l’actualité cette semaine figure le rapport annuel de l’Association de l’industrie solaire en Afrique (Afsia) qui indique 3,7 GW d’énergie solaire ont été installés en Afrique en 2023.

Énergie solaire : tiré par l’Afrique du Sud, le continent a déployé 3,7 GW en 2023

C’est un secteur prometteur que le gouvernement ivoirien veut développer, dans l’optique de diversifier son mix électrique actuellement dominé par les énergies fossiles. Cette semaine, la société PFO Africa a d’ailleurs signé un accord de concession avec le gouvernement ivoirien pour le financement, la construction et l’exploitation d’une centrale solaire de 52 MW dans le département de Ferkessédougou.

CÔTE D’IVOIRE : PFO se lance dans le solaire avec un premier parc de 52 MW à Sokhoro

Cependant au Nigeria, l’État de Lagos a décidé d’interdire le plastique à usage unique à l’origine de la pollution, notamment dans sa capitale peuplée de plus de 20 millions d’habitants. Les déchets plastiques bouchent les canalisations et empêchent l’eau de pluie de s’infiltrer dans le sol, entrainant ainsi des inondations.

NIGERIA: interdiction du plastique à usage unique dans l’État de Lagos

La pollution plastique n’est pas à l’origine des inondations au Congo. Le phénomène qui touche actuellement les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire est lié à la montée des eaux du fleuve Congo.

Inondations au Congo : de Brazzaville à Pointe-Noire, le récit d’un fleuve en colère

La bonne nouvelle vient de Madagascar où se prépare la mise en œuvre d’une feuille de route pour concilier l’agriculture et la biodiversité. Madagascar est le premier exportateur de vanille. Mais la culture de cette épice en forêt entraine une réduction de 47 % des espèces endémiques, selon une étude des chercheurs de l’Université de Göttingen en Allemagne.

MADAGASCAR : une feuille de route pour concilier l’agriculture et la biodiversité

 

À la semaine prochaine,

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