Lafarge Africa Plc présente son rapport de durabilité pour le compte de l’année 2020 au Nigéria. Le cimentier dont le siège se trouve à Lagos a impacté près de 250 000 personnes avec sa politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises).
La politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises) de Lafarge Africa Plc prend de l’ampleur au Nigéria. Le nombre de personnes qui bénéficient des actions de durabilité menées par l’entreprise de production du ciment et du béton prêt à l’emploi, a doublé en l’espace d’une année, passant de 125 000 personnes en 2019 à 250 000 personnes en 2020. Cet impact se traduit sur le terrain par une panoplie d’action, notamment la création d’emplois verts.
Dans le cadre de son partenariat avec la Food and Beverage Recycling Alliance (FBRA), Lafarge Africa a embauché en 2020, plus de 3000 personnes pour la collecte des déchets tels que des pneus, des bouteilles en plastique, du polyéthylène et autres. Lafarge Africa revalorise ces déchets en énergie pour le fonctionnement de ses usines. C’est ainsi près de 71 029 tonnes de déchets qui ont été revalorisés en 2020. Dans la même lancée, Lafarge a remplacé 9,6 % de sa consommation énergétique par des sources d’énergie renouvelable.
Le cimentier basé à Lagos a également réhabilité 933 hectares de terres dégradées dans sa carrière. Il a également compensé une partie de ses émissions de dioxyde de carbone en plantant plus de 7 000 semis d’arbres.
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Majoritairement détenue par le géant suisse Holcim, spécialiste des matériaux de construction et des agrégats, Lafarge Africa produit des rapports annuels de durabilité depuis 2016. « En déployant l’innovation, nous défendons la façon dont le Nigeria se construit. Elle est holistique et stratégiquement conduit pour s’assurer que nous augmentons la portée et l’impact dans les sphères économiques et environnementales… » explique Prince Adefioye, le président de Lafarge Africa.
L’approche de Lafarge Africa en matière de développement durable est guidée par des piliers tels que les énergies renouvelables, l’économie circulaire et la protection de la biodiversité. L’objectif étant d’améliorer les relations avec les investisseurs, le gouvernement, les communautés, et sa clientèle.
Boris Ngounou
