Sommet Italie-Afrique, Veolia au Maroc… cinq informations à retenir cette semaine

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Sommet Italie-Afrique, Veolia au Maroc : cinq informations à retenir cette semaine

Une semaine s’achève avec beaucoup d’informations sur l’environnement et le développement durable en Afrique. Parmi les faits majeurs à retenir figure notamment le premier Sommet Italie-Afrique et ses promesses, le groupe Veolia qui cède l’une de ses filiales dans la gestion de l’eau en Afrique, ou encore la manifestions d’intérêt du Burkina Faso pour la Convention d’Helsinki sur l’eau transfrontalière.

Parmi les principaux sujets d’actualité de la semaine qui s’achève figure le Sommet Italie-Afrique qui s’est refermé le 29 janvier 2024 à Rome, avec un engagement d’investissement de 5,5 milliards d’euros en faveur du développement, dans l’optique de contrer l’immigration clandestine.

La coopération Italie-Afrique s’affûte avec un plan énergétique et migratoire de 5 Md€

Parmi les axes de cette coopération, figure notamment l’énergie et la filière naissante de l’hydrogène vert. L’Italie veut y jouer un rôle pour l’exportation de ce produit d’Afrique vers l’Europe d’ici à 2030.

Exportation de l’hydrogène vert d’Afrique vers l’Europe : l’Italie place ses pions

Dans l’actualité cette semaine, il y avait également le groupe français Veolia qui cède la filiale marocaine d’Eaux de Marseille à Butec. Le groupe libanais se lance ainsi dans la gestion de l’eau et l’assainissement.

Gestion de l’eau : au Maroc, Veolia cède sa filiale EMM au groupe libanais Butec

Toujours dans le secteur de l’eau, la Tunisie veut améliorer l’accès à ce service essentiel en signant un contrat avec l’entreprise indienne VA Tech Wabag pour la construction d’une nouvelle usine à Béjaoua.

TUNISIE : Wabag va construire une nouvelle usine d’eau potable à Béjaoua

Cependant au Burkina Faso, les autorités de transition envisagent d’adhérer à la Convention sur la protection et l’utilisation des cours d’eau transfrontaliers et des lacs internationaux. La convention d’Helsinki vise à protéger et à améliorer la gestion des ressources en eau partagées, dans un contexte sahélien marqué par le dérèglement climatique.

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À vendredi prochain,

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